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Le dîner est prêt!

Tout d’abord, qu’est-ce que la cuisson par lots?

Le batch cooking, également appelé cuisson en grandes quantités ou cuisson en vrac, consiste à préparer une plus grande quantité d’aliments afin de disposer de portions à consommer ultérieurement.

En cuisinant avec une plus grande quantité d’ingrédients, vous vous assurez que le reste des portions peut être conservé au réfrigérateur et, par conséquent, dégusté tout au long de la semaine.

Si votre emploi du temps est serré et que vous n’avez pas le temps de cuisiner tous les jours, cette méthode vous permet de bénéficier de repas nutritifs et tout prêts lorsque vous en avez besoin.

La viande de volaille européenne pourrait être l’ingrédient phare de cette tendance ! En effet, la volaille, comme le poulet et la dinde, est une excellente source de protéines, recommandée dans le cadre d’une alimentation saine et équilibrée, en alternance avec le poisson, les œufs et les aliments d’origine végétale[1]. Naturellement riche en protéines, elle joue un rôle fondamental dans une alimentation équilibrée en contribuant à la croissance et à l’entretien de la masse musculaire, ainsi qu’au maintien d’une ossature normale, sollicitée de manière répétée lors d’une activité physique intense[2].

La viande de volaille est non seulement une source naturelle de protéines, mais elle apporte également des nutriments supplémentaires. Par exemple, la viande de cuisses de poulet apporte naturellement du zinc, qui contribue à une fonction cognitive normale, tandis que les filets de poulet ont une teneur élevée en phosphore, ce qui contribue à un métabolisme énergétique normal. La viande de poulet est également riche en vitamine B3, qui contribue à un métabolisme énergétique normal et réduit la fatigue.

Voici quelques recettes de batch cooking pour vous donner des idées:

1. Restez léger avec la star de la volaille – Blanc de poulet au four:

Cette recette très simple consiste à assaisonner les blancs de poulet avec du sel, du poivre et d’autres herbes ou épices, puis à les faire cuire au four à 190° pendant 25 à 30 minutes, ou jusqu’à ce qu’ils soient bien cuits. Le blanc de poulet est une source de protéines maigres qui peut être facilement incorporée dans des salades, des sandwichs ou servie avec vos légumes préférés.

2. Ajoutez du piquant à votre journée avec un chili de dinde:

Le chili permet de préparer un repas copieux et rassasiant en grande quantité pour le déguster tout au long de la semaine. Cette recette de chili de dinde consiste à faire revenir de la dinde hachée dans une grande casserole, puis à y ajouter des oignons coupés en dés, de l’ail, des tomates en conserve, des haricots rouges et de la poudre de chili. Le mélange est ensuite mijoté au feu 30 à 45 minutes, ou jusqu’à ce que les saveurs se soient bien mélangées. Servir avec du pain complet ou des crackers pour ajouter des fibres.

3. Le plus délicieux des plats réconfortants – Vous pouvez choisir un blanc de poulet ou de dinde pour un curry à cuisson lente: 

Cette savoureuse recette de curry consiste à placer les poitrines de viande choisies, les oignons coupés en dés, l’ail, le gingembre, la pâte de curry et le lait de coco en conserve dans une mijoteuse et à les faire cuire à feu doux pendant 6 à 8 heures, ou jusqu’à ce que la viande de volaille soit tendre et cuite à cœur. Ce plat peut être servi avec du riz brun ou du maïs pour un repas équilibré et nourrissant.

Enfin, conservez correctement vos repas: Une fois vos repas cuits, divisez-les en portions et conservez-les dans des boîtes hermétiques. Vous pouvez les conserver au réfrigérateur jusqu’à 3-4 jours ou au congélateur jusqu’à 3 mois.

Le batch cooking avec des produits de volaille peut être un excellent moyen de simplifier la préparation des repas et permet d’assurer qu’aucun aliment n’est gaspillé.

La polyvalence des produits de volaille vous permet de préparer une grande variété de plats à déguster pendant la semaine. En suivant ces conseils, vous pourrez créer des repas originaux et savoureux à déguster seul sur le canapé, avec vos amis sur la terrasse ou avec votre famille dans la salle à manger!

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Grippe aviaire : Ce qu’il vous faut savoir

Mais savez-vous ce qu’est réellement la grippe aviaire ? Quel est son impact sur le secteur avicole européen ? Existe-t-il un risque pour la santé publique ?

 Poursuivez votre lecture pour trouver réponse à vos questions:

1. Qu'est-ce que la grippe aviaire et comment se propage-t-elle parmi les oiseaux? [2]

La grippe aviaire est une maladie virale qui touche principalement les oiseaux. Les virus de la grippe aviaire peuvent être classés comme hautement ou faiblement pathogènes, appelés respectivement GAHP et GAFP, en fonction de leur capacité à provoquer des maladies graves ou légères et la mortalité chez les poulets.

Les oiseaux sauvages, en particulier ceux qui vivent dans des environnements aquatiques, servent d’hôtes et de réservoirs naturels pour tous les types de virus de la grippe aviaire. Ils jouent donc un rôle important dans le développement, la persistance et la transmission de ces virus.

Les volailles infectées par la GAFP peuvent présenter des symptômes légers ou n’en présenter aucun. À l’inverse, les infections causées par la GAHP peuvent entraîner une maladie grave et la mort des volailles.

Chez les oiseaux, les virus de la grippe aviaire sont excrétés dans les fèces et les sécrétions respiratoires. Leur transmission se fait principalement par contact direct avec les sécrétions d’oiseaux infectés, en particulier par l’intermédiaire des matières fécales ou d’aliments et d’eau contaminés. En raison de leur résistance, qui leur permet de supporter des périodes prolongées à basse température, les virus de la grippe aviaire peuvent également s’accrocher au matériel agricole, ce qui facilite leur propagation rapide entre les exploitations.

2. Qu'y a-t-il de si inquiétant dans la grippe aviaire? [3]

La grippe aviaire présente des risques importants pour différents secteurs, notamment l’industrie avicole, les moyens de subsistance des éleveurs, le commerce international et la santé des oiseaux sauvages. Elle a attiré l’attention du monde entier en raison de ses effets dévastateurs.

Par exemple, certains de ces effets pourraient affecter :

  • Les fermiers : ils peuvent devoir faire face à des taux de mortalité considérables dans leurs élevages, qui atteignent souvent environ 50 %.
  • Le secteur de la volaille : dans les pays en développement, cela peut entraîner des pertes considérables.
  • Le marché du travail : dans les pays en développement, la grippe aviaire peut entraîner d’importantes pertes d’emplois dans l’industrie de la volaille.
  • L’image publique : les zones touchées peuvent souffrir d’une baisse des voyages et du tourisme en raison de la détérioration de l’opinion publique.
  • Les oiseaux sains : pour contenir les foyers, les oiseaux sains sont fréquemment abattus, ce qui présente des risques pour le bien-être des animaux et des hommes, entraîne un gaspillage de protéines et a des conséquences économiques.
  • Le commerce : la grippe aviaire hautement pathogène (GAHP) entrave le commerce international des oiseaux vivants et de la viande de volaille, ce qui a de graves répercussions sur les économies nationales.

3. Peut-on consommer des produits de volaille en toute sécurité dans ces circonstances ? [4]

Bien entendu. Rien ne prouve que la grippe aviaire puisse être transmise à l’homme par la consommation de produits de volaille contaminés.[5]

La volaille et les produits à base de volaille disponibles dans l’UE peuvent être consommés et préparés de la manière habituelle, à condition de respecter les techniques de cuisson et les pratiques d’hygiène appropriées.

S’assurer que la viande de volaille est suffisamment cuite est un conseil important à suivre. Il faut également veiller à ce que l’environnement de préparation et de cuisson soit correctement nettoyé et désinfecté.

Garantir la sécurité alimentaire de nos produits est un élément essentiel du secteur européen de la volaille.

4. Quelles sont les mesures prises contre la GA? [6]

Dans l’Union européenne, les éleveurs de volailles et les États membres ont mis en œuvre une série de mesures pour prévenir la propagation de la grippe aviaire, au moyen, notamment, d’une surveillance et d’un suivi accrus, ainsi que de réglementations strictes sur l’importation d’oiseaux vivants et de produits à base de volaille.

L’abattage des oiseaux infectés est un autre moyen utilisé pour limiter l’escalade de la grippe aviaire. Cela permet de contenir l’épidémie et d’éviter qu’elle ne se propage à d’autres élevages. Cette méthode est toutefois difficile à mettre en œuvre, car elle peut avoir des conséquences économiques importantes pour les éleveurs et les industries concernés.

Parmi les autres mesures visant à prévenir la propagation de la grippe aviaire, citons le renforcement des mesures de biosécurité, telles que des protocoles d’hygiène stricts et la limitation des contacts entre les élevages. De plus, les programmes de vaccination aident à protéger les oiseaux de l’infection et à réduire le risque d’épidémie.

Depuis avril 2021, la loi sur la santé animale relative aux maladies transmissibles entre animaux s’applique dans l’UE. Ce nouveau cadre juridique solide fournit des lignes directrices claires et des mesures harmonisées pour la prévention et le contrôle des maladies animales transmissibles aux animaux et aux humains. Il renforce donc la santé et la sécurité en actualisant les règles de surveillance, de confinement et d’élimination de la grippe aviaire. L’EFSA fournit des avis scientifiques à cet égard afin d’aider les gestionnaires de risques, tels que la Commission européenne, le Parlement européen et les États membres, à prendre des décisions éclairées et les mesures qui s’imposent. En outre, l’EFSA aide les États membres dans leurs efforts de collecte de données et de surveillance.

5. La GA représente-t-elle un risque pour les personnes? [7]

La majorité des virus de la grippe aviaire ne présentent qu’une menace minime pour leurs hôtes naturels et ne se transmettent pas à l’homme.

Toutefois, dans certains cas, certaines variations des virus de la grippe aviaire peuvent subir des mutations qui renforcent leur capacité à infecter d’autres espèces, y compris l’homme.

Les personnes qui sont en contact avec des oiseaux infectés risquent de contracter les virus de la grippe aviaire. Toutefois, pour minimiser ce risque, il convient d’utiliser des équipements de protection individuelle (EPI) et d’éviter tout contact direct avec des oiseaux malades ou décédés, ainsi qu’avec leurs carcasses, leurs excréments et leur environnement potentiellement contaminé.

La plupart des cas d’infection humaine se traduisent par de légers symptômes respiratoires ou une conjonctivite.

Actuellement, les éleveurs touchés ont pour priorité de protéger le plus grand nombre d’oiseaux possible, tout en garantissant la sécurité alimentaire tout au long de la chaîne de production.

6. Quel rôle correspond aux décideurs politiques?

En bref, le contrôle de la grippe aviaire est essentiel pour améliorer la santé et le bien-être des animaux, préserver les moyens de subsistance et réduire les risques pour la santé publique.[8]

La préservation de la santé et du bien-être de nos animaux est une priorité absolue pour les éleveurs de volailles européens. L’ensemble du secteur s’est engagé à prendre le plus grand soin des oiseaux, en investissant dans les technologies les plus modernes qui permettent de contrôler leur alimentation et leur poids, ainsi que la lumière et la température. Cependant, la technologie n’est pas tout : elle doit être soutenue par une formation continue du personnel spécialisé afin de leur transmettre les dernières améliorations et les besoins du secteur. Les services vétérinaires ont un rôle clé à jouer dans la lutte contre la grippe aviaire en matière de prévention, de détection et de contrôle de la maladie.

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Les énergies renouvelables dans le secteur avicole européen durable : bien plus que simplement des panneaux solaires

Les énergies renouvelables constituent un élément essentiel du développement durable en Europe. Grâce à son engagement croissant en faveur de la durabilité et de la réduction des émissions de carbone, le secteur avicole européen vise à utiliser des énergies renouvelables dans toutes les chaînes de production.[1]

Les énergies renouvelables ont le potentiel de relever les défis associés aux émissions de gaz à effet de serre et à la surconsommation de combustibles fossiles, en fournissant une source d’énergie durable et propre, et en réduisant les déchets et les émissions.

L’industrie avicole européenne a intégré les formes les plus courantes d’énergies renouvelables comme suit :

Énergie solaire

C’est l’une des formes d’énergie renouvelable les plus populaires, en particulier pour alimenter les systèmes de ventilation et d’éclairage. Des panneaux solaires peuvent être installés sur le toit des poulaillers pour leur fournir une source d’énergie fiable et rentable à long terme. En outre, l’énergie solaire peut être utilisée pour chauffer l’eau, qui peut ensuite être utilisée pour le nettoyage et à d’autres fins.

La bioénergie

La bioénergie peut être produite à partir de diverses sources, notamment les déchets agricoles, les déchets animaux et les cultures destinées à la production d’énergie.Elle peut être utilisée pour produire de l’électricité, de la chaleur et du carburant, ainsi que pour alimenter des véhicules et des équipements. Cette source d’énergie alternative polyvalente peut constituer une forme d’énergie renouvelable très durable et rentable, en particulier si elle est produite sur place à partir de déchets provenant de l’exploitation agricole.

L’énergie éolienne

L’énergie éolienne est une autre forme d’énergie renouvelable qui gagne en popularité dans le secteur de la volaille. Des turbines éoliennes peuvent être installées dans les fermes, et leur fournir une source d’énergie indépendante des conditions météorologiques. Elle peut être particulièrement bénéfique dans les régions où la vitesse du vent est élevée, où l’énergie éolienne peut être utilisée pour produire de l’électricité pour la ferme et la communauté environnante.

Énergie géothermique

L’énergie géothermique consiste à utiliser la chaleur de l’intérieur de la terre pour produire de l’électricité et de la chaleur. Elle peut être particulièrement bénéfique pour les élevages de volailles situés dans des zones à forte activité géothermique, où la chaleur peut être utilisée pour alimenter les systèmes de chauffage et de ventilation, ainsi que pour chauffer l’eau à des fins de nettoyage et autres.

Bien qu’elles puissent être confrontées à certaines difficultés, telles que des coûts d’installation et d’entretien élevés, les énergies renouvelables offrent au secteur avicole une opportunité significative de réduire son empreinte environnementale tout en contribuant aux objectifs de développement durable de l’Europe dans une perspective de bénéfices à long terme.

En adoptant les technologies des énergies renouvelables, les éleveurs de volailles peuvent réduire leurs coûts énergétiques et leur consommation de combustibles fossiles. L’adoption des énergies renouvelables dans le secteur de la volaille est une solution gagnant-gagnant à la fois pour l’industrie et pour l’environnement, et elle constitue une grande partie de son engagement avec le pilier environnemental de la durabilité.

Programme de promotion pour informer au sujet du secteur européen de la volaille durable

VOLAILLE EU DURABLE (SUST EU POULTRY) est une campagne de promotion de deux ans soutenue par la Commission Européenne et lancée par trois associations nationales de volailles et leur association faîtière européenne (d’Allemagne, de France et d’Espagne). L’objectif principal est de sensibiliser les consommateurs et les professionnels européens à la durabilité du secteur avicole européen et à un produit de grande qualité.

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[1] Veterinaria Digital, 2020 : Les énergies renouvelables au service de l’industrie avicole

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Les différentes découpes du poulet et comment les utiliser Évitez le gaspillage alimentaire en profitant de toutes les parties du poulet !

Nous savons à quel point une recette à base de blanc de poulet peut être délicieuse et nutritive ! Cependant, il existe beaucoup d’autres morceaux de poulet qui peuvent constituer un délicieux repas. Continuez à lire pour découvrir votre prochaine recette de poulet.[1]

La polyvalence de la viande de poulet permet d’essayer bon nombre de techniques culinaires. Ce produit riche en protéines peut être, entre autres, rôti, grillé, cuit au four, ou frit, pour élaborer les repas les plus délicieux.

La viande de poulet est correctement cuite lorsqu’elle atteint une température interne de 75 °C. Cette règle s’applique quelle que soit la méthode de cuisson, la température et le type de viande, y compris la viande blanche comme les poitrines et les ailes de poulet, ainsi que la viande plus rouge, comme les pilons et les cuisses.

Ceci dit, il y a six parties comestibles principales du poulet qui permettent des recettes savoureuses :

  • Le poulet entier : dans certains cas, la volaille entière est son meilleur morceau, et la meilleure façon de la préparer est de la faire rôtir. Saler et badigeonner d’huile d’olive tous les côtés de la pièce avant de la mettre à rôtir pendant 20 à 25 minutes à 220ºC. Rôtir encore 30 à 45 minutes à 200 °C et laisser reposer 20 minutes avant de déguster !
  • Le blanc de poulet est l’un des morceaux les plus courants, bien connu comme viande maigre et par sa teneur élevée en protéines. Il est généralement désossé et sans peau, ce qui en fait un choix populaire pour les repas sains. Les blancs de poulet peuvent être grillés, cuits au four, sautés ou frits à la poêle et peuvent être utilisés dans une variété de recettes, y compris les salades, les sandwichs, les sautés et les plats de pâtes.
  • Les cuisses de poulet sont plus savoureuses et plus tendres que les blancs de poulet. Elles contiennent plus de graisse et de tissu conjonctif, ce qui les rend idéales pour les méthodes de cuisson lente comme le braisage ou la cuisson à l’étouffée. Les cuisses de poulet sont également parfaites grillées ou à la poêles et peuvent être utilisées dans des recettes telles que les currys, les soupes et les ragoûts.
  • Les ailes de poulet sont un amuse-gueule populaire et un plat de fête. Elles peuvent être grillées, cuites au four ou frites et sont souvent servies avec une variété de sauces et de trempettes. Les ailes de poulet sont également un excellent complément aux soupes et aux ragoûts, auxquels elles apportent plus saveur et de texture.
  • Les bas de cuisses de poulet, également appelées pilons, sont un morceau de poulet savoureux et bon marché. Elles peuvent être rôties, grillées ou frites et sont souvent servies avec une variété d’épices et de sauces. Les pilons complémentent à la perfection les plats cuisinés, les soupes et les ragoûts.
  • Les cuisses de poulet avec les os et la peau sont un morceau de poulet savoureux et polyvalent, qu’elles soient rôties, braisées ou grillées, et leur peau devient croustillante et dorée. Les cuisses de poulet avec les os et la peau sont également idéales pour ajouter de la saveur aux soupes et aux ragoûts.
  • Graisse de poulet : La graisse qui s’accumule à la surface du bouillon peut être utilisée de différentes manières. Il faut la chauffer doucement pour en retirer toute l’eau, puis la filtrer pour obtenir les meilleurs résultats. Vous pouvez l’utiliser pour rôtir des pommes de terre ou des légumes racines, ou encore pour préparer des latkes. Après deux semaines au réfrigérateur, congeler dans un récipient hermétique.

L’engagement du secteur européen de la volaille à éviter la production de déchets alimentaires est un élément important du pilier de la durabilité sociale. Il est essentiel de tirer parti de toutes les parties de l’animal pour éviter le gaspillage alimentaire et, grâce à la polyvalence de la viande de volaille, il est possible de le faire grâce à des recettes délicieuses.

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[1] https://www.delish.com/uk/cooking/recipes/g30961649/chicken-cuts-best-recipes/

https://www.goodhousekeeping.com/food-recipes/cooking/g2775/best-chicken-cuts-for-recipes/

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Comment la crise énergétique actuelle affecte-t-elle le secteur européen de la volaille ?

Dans toute l’Union européenne, les producteurs de volaille ont été durement frappés par l’augmentation des coûts de l’énergie qui a entravé la rentabilité des exploitations et dans certains cas compromis leurs activités.

Les travailleurs du secteur avicole de toute l’Europe redoutent d’éventuelles interruptions de production dans leur secteur.

La crise actuelle a été bien plus imprévisible que tout ce que les éleveurs de volaille européens ont connu auparavant, et ceci les inquiète.

Les solutions du passé, telles que les baisses drastiques des prix du carburant, semblent inefficaces au vu de la situation actuelle, et les membres du secteur craignent que cela n’affecte la consommation de produits avicoles en Europe.

Comme récemment exprimé par le responsable de la communication de BVG[1] la hausse du coût de l’électricité et des matières premières a un impact significatif sur l’ensemble du secteur de la volaille. Elle engendre des difficultés pour les exploitations et l’ensemble de la chaîne de valeur, au point d’entraver la livraison des produits et la sécurité alimentaire.

Plus précisément, la crise a affecté les systèmes de chauffage des exploitations de poulets de chair qui utilisent souvent le gaz comme source de combustible, et il leur est donc difficile de prévoir la rapidité et le coût de l’installation d’un système alternatif.

Cependant, il y a encore quelques solutions possibles. Pour les éleveurs de volailles, il y a la possibilité d’installer des panneaux solaires sur les toits des poulaillers, ce qui est idéal pour réduire le coût des ventilateurs, des systèmes d’alimentation et de nettoyage, en particulier pendant les mois les plus chauds de l’été.[2]

D’autres solutions incluent diverses techniques alternatives de production d’énergie, afin que le secteur européen de la volaille puisse s’assurer d’un approvisionnement suffisant en produits. Plusieurs exploitations utilisent déjà la chaleur résiduelle des installations de biogaz ou d’autres sources d’énergie pour contribuer à la production d’énergie durable.

D’autres exemples d’économies d’énergie sont la modernisation des éclairages, une technique qui permet de réduire la consommation d’énergie de 60 %.Les agriculteurs qui sont passés d’un éclairage fluorescent à un éclairage LED ont réduit leur consommation d’énergie de 11 340 kWh à 3 780 kWh.[3]

Les fermes avicoles européennes commencent à augmenter leur demande d’énergie solaire en raison de la crise de l’énergie, tandis que d’autres producteurs recherchent les installations les plus grandes possibles, pour permettre à la photovoltaïque d’émerger et d’offrir des capacités de 100 à 200 kW ou de 1 à 2 MW.[4]

La résilience du secteur de la volaille pendant la crise énergétique actuelle est directement liée au pilier environnemental de la durabilité du secteur.

La recherche d’alternatives énergétiques vertes et le développement de technologies permettant d’adopter des systèmes énergétiques plus efficaces ont un poids important dans le secteur avicole européen.

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[1] Michael Steinhauser, responsable de la communication de l’Association allemande de la volaille.

[2]Énergie NFU

[3]Ferme avicole Ignaczak en Pologne

[4]EDP Energia Polska

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L’avenir est déjà là : les technologies modernes dans le secteur européen de la volaille

L’avenir est déjà là : les technologies modernes dans le secteur européen de la volaille

Cest ainsi que les dernières technologies contribuent à rendre le secteur plus durable

Lorsque vous pensez au secteur européen de la volaille, une image démodée peut vous venir à l’esprit. Pourtant, le secteur avicole européen utilise certaines des technologies les plus récentes au monde, ce qui lui permet de contribuer à une chaîne de production plus durable en termes denvironnement, de société et déconomie.

Continuez à lire pour en savoir plus sur les technologies modernes dans le secteur de la volaille !

De nos jours, il est impératif pour les différents secteurs de devenir toujours plus rentables. Pour y parvenir, il leur faut travailler avec les dernières évolutions technologiques.

Cependant, même si le secteur de la volaille a adopté cette tendance à la modernisation, il convient de savoir que la rentabilité n’est que l’un des aspects recherchés par le secteur. En effet, les nouvelles technologies sont aussi employées dans la chaîne de production dans le but d’offrir un produit de haute qualité et respectueux de l’environnement, de la société et de l’économie.

Mais qu’impliquent exactement ces technologies modernes ?

Analyse et échange de données[1]

La collecte de données sur l’état des volailles est réalisée par des méthodologies d’IA et des systèmes de contrôle.

Toutefois, cette collecte de données ne se limite pas au contrôle de l’état des volailles ; elle sert également à gérer les exploitations et à aider les agriculteurs à optimiser leurs méthodes de production.

Les services modernes fournissent aux agriculteurs et aux producteurs des systèmes à distance et en temps réel pour contrôler et s’occuper des volailles et de tout ce qui les entoure, tout en optimisant également la production grâce à des algorithmes ayant une capacité d’auto-apprentissage. Ces technologies aident également les agriculteurs de toute l’Europe à se connecter entre eux pour partager les données et les résultats visant cette optimisation.

La gestion de l’eau et des aliments[2]

L’un des aspects les plus fondamentaux et modernes des exploitations avicoles est la gestion de l’eau et des aliments des volailles.

Cela signifie qu’il faut surveiller et prendre soin d’aspects essentiels tels que la qualité et la quantité d’aliments et d’eau, la gestion, la rationalisation et d’autres aspects durables tels que la mise en œuvre de décharges d’énergie zéro, la collecte et le traitement des eaux de pluie et le stockage général de l’eau et des aliments dans les exploitations.

Ces technologies de gestion aident les agriculteurs à atteindre les objectifs de poids des aliments et de ratio de conversion afin de fournir aux oiseaux les meilleures conditions de santé et de bien-être.

Amélioration des aliments pour animaux[3]

Le fait de garantir la qualité des ingrédients entrant dans la composition des aliments permet de maintenir et d’améliorer la santé intestinale des oiseaux, en évitant de nombreuses pathologies diverses et, par conséquent, l’utilisation d’antibiotiques.

Grâce à l’amélioration de l’alimentation, le microbiote des animaux est contrôlé et l’absorption des nutriments inclus dans l’alimentation améliorée.

Contrôle des exploitations[4]

Ce sont des services visant à améliorer les performances et les résultats des exploitations afin de créer un environnement plus durable pour les oiseaux. Ces services comprennent des systèmes de ventilation qui peuvent être entièrement contrôlés à distance.

Ils présentent des caractéristiques et des avantages tels que la surveillance du climat intérieur qui permet de réduire la mortalité des oiseaux et d’adapter l’environnement intérieur aux conditions météorologiques, tout en optimisant la consommation d’énergie.

Outre ces systèmes déjà utilisés, d’autres nouvelles technologies sont en cours de développement et constituent des options très intéressantes pour faire progresser la production de volailles. Elles comprennent l’utilisation de caméras 3D pour aider à contrôler le poids des oiseaux, de robots programmés pour contrôler l’état et la distribution des volailles au sol et d’autres éléments robotiques conçus pour interagir avec les oiseaux sans leur causer de perturbation.[5]

Toutes ces technologies avancées font l’objet d’une amélioration continue et d’une révision constante afin de fournir aux volailles les meilleures conditions de santé et de bien-être, tout en aidant l’ensemble du secteur à devenir plus efficace et plus durable.

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[1] OptiFarm

[2] AgriSmart

[3] Evonik

[4] Vencomatic Group

[5] 1WattPoultry- 3 technologies développées pour faire progresser la production de volailles

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Que mangent nos animaux ?

Que mangent nos animaux ?

L’alimentation dans le secteur européen de la volaille durable

Vous êtes-vous déjà demandé quelle est la composition des formules alimentaires modernes pour volailles dans lUE ? Bien que la majorité des aliments pour animaux soit composée de blé, les autres ingrédients également inclus sont variés et nécessaires pour leur assurer une alimentation saine.

Continuez à lire pour en savoir plus sur ce sujet ![1]

Dans le cadre de la durabilité sociale, la composition des aliments utilisés dans le secteur européen de la volaille est un facteur essentiel à surveiller. L’alimentation générale courante des poulets de chair en Europe contient du blé, du soja, du colza et de la farine de poisson, une formule garantie sans utilisation d’antibiotiques.

En ce qui concerne la composition des aliments et leur utilisation en Europe, il existe un plus grand niveau de variabilité qui dépend de la taille de l’exploitation, de la disponibilité des ingrédients ou des connaissances nutritionnelles, le tout entendu entre les différents États membres et les nutritionnistes européens.

Cependant, de manière générale, en Europe le blé est la principale céréale présente dans la composition des aliments. Mais elle n’est pas la seule à entrer dans la composition des aliments pour animaux, car le maïs, produit localement ou importé, y est également ajouté. Le blé contient plus de protéines et de phosphore.

L’utilisation de farine de poisson comme ingrédient donne d’excellents résultats nutritionnels lorsque l’origine est un produit de haute qualité. C’est le cas de la farine de hareng comme source de 70% de protéines brutes. Toutefois, en raison de son coût plus élevé, cet ingrédient peut être remplacé par des protéines végétales.

En termes de protéines, le soja reste le principal ingrédient les fournissant. Cependant, comme l’UE cherche à réduire sa dépendance vis-à-vis de cet ingrédient, des alternatives comme le développement rapide de la culture du colza (environ 35% de protéines brutes) permettent l’incorporation de cet ingrédient relativement plus abordable et disponible.

Enfin, d’autres ingrédients pourraient inclure des agents comme les coccidiostatiques. Mais que sont-ils ? Selon Science Direct : les coccidiostatiques sont des agents antiprotozoaires qui agissent sur les parasites coccidia en inhibant leur reproduction et en retardant le développement du parasite dans la cellule hôte. Ils sont le plus souvent utilisés dans les populations de volailles en les ajoutant dans lalimentation aux niveaux autorisés et en respectant les conditions dhygiène prescrites.

Ces agents ne sont pas considérés comme des antibiotiques, car leur utilisation est autorisée, contrairement à d’autres composants tels que les antibiotiques bactériens, dont l’utilisation pour stimuler la croissance a été totalement interdite dans l’UE.

En termes généraux, les proportions d’ingrédients dans 1000 livres de formule moderne d’alimentation pour la volaille seraient les suivantes :

Source : Ioannis Mavromichalis, Ph.D.

Le secteur européen de la volaille veille à la qualité de la composition des aliments donnés à ses animaux en leur apportant tous les nutriments nécessaires et en respectant les normes les plus strictes fixées par l’Union européenne. Cette approche n’est qu’une partie du pilier de la durabilité sociale, envers lequel le secteur est engagé.

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[1] Source : Formules d’aliments modernes pour poulets de chair en Europe – FeedStrategy

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Il ne s’agit pas uniquement de la consommation de viande de volaille !

Il ne sagit pas uniquement de la consommation de viande de volaille !

La gestion des déchets et lutilisation des sous-produits de la volaille

Avez-vous déjà entendu parler des sous-produits animaux ? Selon lAutorité européenne de sécurité des aliments, il sagit de « parties danimaux non-destinées à la consommation humaine ».[1]

Saviez-vous que ces produits sont réutilisés dans dautres secteurs et industries dans un cycle de politique de non-déchets ? Il va sans dire que non-déchets ne se réfère pas seulement aux déchets alimentaires, et le secteur européen de la volaille sait une chose ou deux à ce sujet. Continuez à lire pour le découvrir !

Les sous-produits de la volaille dans dautres secteurs

Environ 68% d’un poulet est destiné à la consommation humaine[2] ; cela revient à dire que des millions de tonnes de viande non destinée à la consommation humaine directe sont produites chaque année dans l’UE. Cette matière, appelée sous-produits, est ensuite transformée en une variété d’alternatives utilisées par d’autres secteurs.

Ces sous-produits comprennent, entre autres, les déchets d’abattoirs (tels que la peau, les os, le sang ou la graisse) et aussi les matières produites par les animaux, telles que le fumier, les coquilles d’œufs ou les plumes.

Plusieurs applications sont données à ces produits alternatifs provenant du secteur de la volaille, dans le cadre d’un système de production durable qui minimise les déchets.

Et quelle est exactement l’utilisation alternative donnée à ces matériaux ? Les options sont multiples et affectent de nombreux secteurs : alimentation humaine, alimentation animale, produits de beauté, fertilisation, utilisation pharmaceutique et autres utilisations techniques.

Plus précisément :

  • Les os, la peau et les tendons sont utilisés pour produire de la gélatine destinée à l’alimentation humaine, comme les desserts ou les bonbons ; les aliments pour animaux          de compagnie, y compris les suppléments vitaminés et les friandises ; les capsules à             usage pharmaceutique et d’autres usages techniques comme le couchage du papier.
  • D’autres parties du corps, comme les abats, sont employées pour produire des graisses et des protéines animales destinées à l’alimentation humaine, aux aliments pour animaux, aux produits cosmétiques, pharmaceutiques et techniques.
  • Les plumes sont réutilisées pour la production de carburant et d’aliments pour animaux de compagnie et pour d’autres utilisations liées à leur contenu en kératine.[3]

Sous-produits d’autres industries utilisés dans le secteur de la volaille

Mais le secteur de la volaille ne se contente pas de fournir des sous-produits à d’autres industries, il en utilise également.

En effet, l’UE a récemment levé l’interdiction d’utiliser des sous-produits animaux pour l’alimentation des volailles, dans le cadre d’une politique visant à éviter le gaspillage de parties d’animaux impropres à la consommation humaine.

En juillet 2021, le Conseil européen a voté la levée de l’interdiction née en 1994 en raison de la crise de l’ESB (encéphalopathie spongiforme bovine), visant à éviter la contamination croisée dans les aliments pour animaux.

Cette décision repose sur deux raisons principales :

  • Le « Green Deal » européen et la stratégie « de la ferme à la table » encouragent tous deux l’utilisation de ces produits pour éviter le gaspillage dans un cycle d’utilisation durable.
  • D’autre part, le danger, devenu minimal, de contamination croisée, compte tenu du fait que le dernier cas dans l’UE a été enregistré en 2016.

Les deux méthodologies sont utiles pour aider à améliorer la qualité des aliments pour animaux, en favorisant la digestibilité et en leur apportant des sources de protéines plus élevées.[4]

Vous pouvez maintenant dire que vous en savez un peu plus sur l’utilisation des sous-produits dans le secteur de la volaille et sur le fait qu’il s’agit de bien plus que seulement et uniquement la consommation de viande !

Programme de promotion pour informer au sujet du secteur européen de la volaille durable

VOLAILLE EU DURABLE (SUST EU POULTRY) est une campagne de promotion de deux ans soutenue par la Commission Européenne et lancée par trois associations nationales de volailles et leur association faîtière européenne (d’Allemagne, de France et d’Espagne). L’objectif principal est de sensibiliser les consommateurs et les professionnels européens à la durabilité du secteur avicole européen et à un produit de grande qualité.

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[1] Questions et réponses sur les sous-produits animaux

 https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/en/MEMO_04_107

[2] Questions et réponses sur les sous-produits animaux

 https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/en/MEMO_04_107

[3] Applications industrielles non alimentaires des plumes de volaille. https://europepmc.org/article/med/26092473

[4] Association européenne des transformateurs de graisse et des équarrisseurs

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Qui vient d’abord, la poule (durable) ou l’œuf ?

Qui vient d’abord, la poule (durable) ou l’œuf ? 
Un bref aperçu de la chaîne de valeur de la volaille durable

Les œufs viennent des poules et les poules viennent des œufs : c’est là la base de cette ancienne énigme. Mais les œufs – qui ne sont que des cellules sexuelles femelles – sont apparus il y a plus d’un milliard d’années, alors que les poules n’existent que depuis 10 000 ans.

L’énigme est donc facile à résoudre… n’est-ce pas ?[1]

En parlant de poules : saviez-vous que la volaille est devenue un élément essentiel de notre alimentation vers les années 20 ? Ce n’est qu’en 1920 que la production a commencé dans de véritables poulaillers. À cette époque, les poules étaient principalement élevés pour leurs œufs.

Ce n’est que dans les années 50 que les élevages de poulets destinés au marché de la viande ont largement dépassé les élevages de pondeuses.

Pour en revenir à aujourd’hui, vous aimeriez certainement savoir qu’avant d’arriver au magasin, les produits de viande de volaille passent par tout un processus contrôlé de grande qualité et sécurité, qui commence par quelque chose d’aussi simple qu’un œuf.

Poursuivez votre lecture si vous souhaitez en savoir plus sur la chaîne de valeur de la volaille européenne ![2]

Étape 1 : fermes d’élevage primaire

Première étape de la chaîne de production : les groupes de poulets de race sont élevés dans des conditions d’hygiène strictes dans des fermes spécialisées. Pour garantir la santé et le bien-être de l’animal et la qualité du produit final, des contrôles de prévention des maladies et la biosécurité sont garantis à travers plusieurs aspects concernant la santé, le bien-être et la productivité des œufs.

En outre, le processus de sélection se concentre sur les caractéristiques génétiques, naturellement internes aux poules, susceptibles d’être transmises au poussin. Ces mesures d’élevage ont permis, au cours des 15 dernières années, de réduire la quantité d’aliments nécessaires pour produire 1 kg de viande de volaille.[3]

C’est ce processus d’élevage qui démarre la lignée des animaux qui va jusqu’aux poulets de chair élevés pour la production de viande.

Étape 2 : Écloseries

C’est ici que tout le processus commence !

Les œufs fécondés arrivent dans les couvoirs et passent par une phase d’incubation de 21 jours. Le plus remarquable de ce processus est qu’il reproduit les particularités de la poule couveuse (conditions de chaleur), jusqu’à l’éclosion de l’œuf !

Les exigences en matière d’environnement et d’hygiène sont assurées et optimisées afin que les poussins puissent éclore dans les meilleures conditions sanitaires. En effet, les normes européennes garantissent que l’aviculture réponde aux mêmes exigences minimales dans tous les États membres, ce qui inclus les exploitations d’éclosion.

Après l’éclosion, tous les poussins sont soumis à une inspection et à une vaccination par pulvérisation, avant d’être transportés vers les élevages de poulets de chair dans des camions soumis à des exigences particulières pour garantir un environnement parfaitement climatisé. La santé et le bien-être des animaux dans toutes les sections de la chaîne de production font partie de l’aspect durable du secteur.

Étape 3 : Les élevages de poulets de chair

Les poussins récemment éclos arrivent dans les élevages de poulets de chair et sont maintenus dans des conditions thermiques spécifiques pendant la phase d’alimentation. Dans le secteur européen de la volaille, l’eau et les aliments pour animaux sont obtenus grâce à une utilisation durable des ressources naturelles et au choix d’aliments qui favorise les cultures locales. De cette façon, tous les besoins nutritionnels des poussins sont satisfaits tout au long de leur croissance.

Dans l’UE, l’engraissement des volailles s’effectue au sein de grands troupeaux dans des systèmes au sol – Cela permet aux oiseaux de se déplacer librement et de réaliser leurs comportements naturels (picorer, gratter et prendre des bains de poussière).[4] C’est ainsi qu’ils sont élevés dans des conditions de bien-être et de santé exigeantes, grâce à des technologies innovantes qui permettent aux agriculteurs de surveiller et de réguler les conditions de température en temps réel, ainsi que de régler l’alimentation, le poids et l’éclairage.

                                              Image de Raúl Serrano Jiménez

 

En outre, dans l’UE, les élevages de poulets de chair doivent respecter une densité d’élevage maximale de 33 kilogrammes par mètre carré, qui n’est atteinte que vers la fin de la phase d’élevage[5]. Selon la directive (CE) 2007/43 du Conseil, elle peut toutefois être portée jusqu’à 42 kilogrammes pour des poulets placés dans des conditions très strictes.

Dans les poulaillers, les animaux ont toujours accès à de l’eau potable et à des aliments frais.  Le sol est recouvert de litière naturelle et l’éclairage assure un rythme naturel jour-nuit. La circulation de l’air, sa teneur en poussière, son degré d’humidité et sa qualité font l’objet d’un contrôle électronique permanent, qui permet de garantir que les animaux sont élevés dans des conditions adaptées à leur espèce.

 

Étape 4 : Les usines de transformation

Le transport vers l’usine de transformation a lieu lorsque les poulets de chair sont à terme en matière de poids. Des normes élevées en matière de transport garantissent un voyage sans stress jusqu’à l’abattoir ; c’est à dire qu’il existe des directives spécifiques à suivre pour le transport de la ferme d’élevage à l’abattoir, y compris des réglementations sur le niveau de santé des animaux, qui doit être parfait avant leur déplacement. Des réglementations strictes concernant l’espace nécessaire pendant le transport ainsi que la durée de celui-ci doivent être respectées, car les animaux ne doivent en aucun cas rester sur la route plus de 12 heures.[6]

Un autre facteur important pour le bien-être des animaux est l’expertise du personnel et son comportement responsable dans la production quotidienne, car de nombreuses personnes sont responsables de la supervision du maillon de la chaîne de production que constitue l’usine de transformation (vétérinaires, inspecteurs…).

À l’usine, la première étape consiste à inspecter l’animal. Des exigences strictes en matière d’hygiène et d’étiquetage garantissent une sécurité élevée des produit ; l’expertise du personnel et son comportement responsable dans la production quotidienne constitue un facteur décisif pour le bien-être des animaux.

Ces règles d’hygiène s’appliquent à l’ensemble du processus (abattage, transformation et commercialisation) : chaque pièce et chaque équipement doit répondre à des normes élevées. Les entreprises sont donc tenues d’appliquer des procédures fondées sur le système HACCP. En outre, le respect des exigences en matière de bien-être animal et d’hygiène est contrôlé par un vétérinaire officiel, qui effectue de nombreux contrôles avant et après l’abattage.

Les poulets sont mis en état d’inconscience avant l’abattage, selon des méthodologies humaines et scientifiques, afin de leur éviter toute douleur, souffrance, stress ou excitation évitables. Le vétérinaire officiel et ses assistants sont présents dans l’abattoir tout au long de la journée pour superviser les opérations. Ensuite, les carcasses déplumées et les organes internes sont retirés. Les plumes, le sang et les autres sous-produits passent à d’autres secteurs pour un processus de valorisation de chaque partie de l’animal. De cette façon, tous les sous-produits peuvent être exploités à d’autres fins et pour d’autres secteurs tels que ceux des engrais, des aliments pour animaux, des composants d’aliments pour animaux de compagnie, etc.

Les carcasses sont lavées, puis refroidies, classées et pesées. Certaines sont alors destinées à la vente en pièces entières, d’autres, par morceaux et d’autres encore continuent sur la chaîne de transformation en d’autres produits alimentaires (charcuterie, plats cuisinés…).

En outre, qu’il s’agisse de produits réfrigérés ou congelés, chaque unité d’emballage doit être étiquetée lorsqu’elle quitte l’abattoir ou l’usine de transformation, afin de faciliter son tracé.

En conclusion : la durabilité de la chaîne de production de valeur de la volaille est présente à chaque étape du cycle de vie de l’animal, en veillant à sa sécurité et à son bien-être, afin de délivrer un produit de qualité, issu d’une production responsable.

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Vous trouverez plus d’informations sur le projet ici

Vous pouvez également en savoir plus sur la durabilité du secteur en téléchargeant notre dossier de presse ici.

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[1] Qui vient d’abord, la poule ou l’œuf ?
https://www.newscientist.com/question/came-first-chicken-egg/

[2] Conseil international de la volaille

[3] AVIAGEN. http://eu.aviagen.com/about-us/sustainability/

[4] AVEC, Voici la volaille européenne ! Dossier de presse 2020.

[5] AVEC, Voici la volaille européenne ! Dossier de presse 2020.

[6] AVEC, Voici la volaille européenne ! Dossier de presse 2020.

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Choisissez des produits de qualité, choisissez l’origine UE !

Vous arrive-t-il de vérifier lorigine des produits que vous achetez ? Vous nêtes pas le seul ! En fait cette tendance devient majoritaire parmi les citoyens de lUE. En outre, les consommateurs s’intéressent et se préoccupent de plus en plus pour connaître la composition des produits alimentaires, leur traçabilité et limpact sur l’environnement des chaînes de production.

En mars 2022, la Commission européenne a publié le rapport Eurobaromètre entièrement consacré à la perception des citoyens européens sur l’agriculture et la politique agricole commune (PAC)[1] de l’UE.

Les résultats ont montré que 95% des personnes interrogées, soit plus d’une sur dix, considèrent que l’agriculture et les zones rurales sont importantes pour l’avenir.

Mais qu’implique exactement cette importance pour le consommateur ? Quels facteurs sont pris en compte dans l’achat de produits agricoles de la part des citoyens de l’UE ?

Entre autres facteurs, tels que l’appartenance à une chaîne d’approvisionnement courte et le respect de la tradition et du savoir-faire local, pour les consommateurs de l’UE, les indicateurs d’origine et de qualité constituent des caractéristiques essentielles du produit.

Les données montrent qu’au moins la moitié des citoyens européens tiennent compte de l’origine des produits agricoles acquis ; et cette proportion augmente encore plus lorsque ces produits proviennent d’une zone géographique qu’ils connaissent.

La qualité garantie par des indications spécifiques des labels de qualité est également un facteur qu’au moins deux tiers des personnes interrogées considèrent important et apprécient.

Plus précisément, ce que les consommateurs de l’UE considèrent….[2] :

  • Lorsqu’ils achètent des produits alimentaires :

  • For the origin of the product :

Il ne s’agit que d’un résultat général pour le citoyen européen moyen, mais les résultats concernant les pays participants à ce programme sont également très positifs :

Les résultats en Allemagne[3] montrent que :

Lorsqu’ils achètent des produits alimentaires :

  • For the origin of the product :

Pour les consommateurs français[4] :

Lorsqu’ils achètent des produits alimentaires :

 

  • For the origin of the product :

En Espagne[5] :

Lorsqu’ils achètent des produits alimentaires :

  • For the origin of the product :

 

Dans le cas du secteur européen de la volaille, les réglementations strictes de l’UE visant à garantir les normes de qualité du produit sont suivies et soumises à des conditions de production en phase d’amélioration constante quant à la conservation des ressources, la réduction des déchets, l’utilisation plus durable des ressources naturelles et le bien-être des animaux.

Efforts nationaux pour indiquer la qualité et l’origine des produits alimentaires.

Suite aux aspects positifs de l’indication de l’origine des produits agricoles[6], les États membres ont choisi différentes méthodes pour indiquer cette information sur les produits.

Parmi les pays participant à ce programme, le choix des États membres pour refléter l’origine des produits carnés, y compris la volaille, a été le suivant[7] :

Allemagne : Il y a plus de 300 systèmes volontaires comportant un élément d’origine pour la viande de volaille en Allemagne. En outre, chaque Land dispose de son propre système d’étiquetage indiquant l’origine (Bavière, Schleswig-Holstein et Rhénanie-du-Nord-Westphalie).

France : Pour la viande de volaille, la « Volaille française » repose sur un accord interprofessionnel soutenu par l’Association des producteurs français de volaille pour indiquer l’origine du produit.

En outre, le gouvernement français a proposé d’exiger l’indication de l’origine de la viande fraîche pour toutes les espèces vendues dans tous les restaurants.

Espagne : Alimentos de España’ (“Aliments d’Espagne”) est un label non obligatoire indiquant l’origine espagnole pour la volaille et d’autres types de viande. Les opérateurs se conforment à ces régimes volontaires pour poursuivre des stratégies de différenciation des produits.

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Vous trouverez plus d’informations sur le projet ici

Vous pouvez également en savoir plus sur la durabilité du secteur en téléchargeant notre dossier de presse ici.

 

[1] Eurobaromètre spécial 520. Les Européens, l’agriculture et la PAC https://europa.eu/eurobarometer/surveys/detail/2665

[2] Eurobaromètre spécial 520. Les Européens, l’agriculture et la PAC https://europa.eu/eurobarometer/surveys/detail/2665

[3] Eurobaromètre spécial 520. Les Européens, l’agriculture et la PAC : Allemagne https://europa.eu/eurobarometer/surveys/detail/2665

[4] Eurobaromètre spécial 520. Les Européens, l’agriculture et la PAC : France https://europa.eu/eurobarometer/surveys/detail/2665

[5] Eurobaromètre spécial 520. Les Européens, l’agriculture et la PAC : Espagne https://europa.eu/eurobarometer/surveys/detail/2665

[6] Eurobaromètre spécial 520. Les Européens, l’agriculture et la PAC

[7] DOCUMENT DE TRAVAIL DU PERSONNEL DE LA COMMISSION D’ÉVALUATION de l’indication obligatoire du pays d’origine ou du lieu de provenance pour les viandes fraîches, réfrigérées et congelées de porc, de bovin, de caprin et de volaille https://eur-lex.europa.eu/legal-content/EN/TXT/?uri=CELEX%3A52021SC0218&qid=1628749346728#footnote2

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